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Démantèlement
Ce zoom présente les données de l’exposition externe et interne de travailleurs intervenant dans des installations nucléaires en démantèlement. Trois sites présentant des installations en démantèlement ont été sélectionnés pour cette étude ciblée : le site EDF de Chooz (réacteur à eau pressurisée de Chooz A, exploité entre 1967 et 1991), des installations du site ORANO de La Hague (ateliers rattachés à l’usine UP2-400, démarrée en 1966 et arrêtée en 2004) et les installations du site CEA de Fontenay-aux-Roses (ateliers de démantèlement des installations, en cours depuis 1999).
Bilan 2020
La radioprotection des travailleurs
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Démantèlement
Exposition externe
L’effectif des travailleurs inclus dans cette étude ciblée est en baisse en 2020 par rapport aux deux années précédentes : 676 en 2020, 934 en 2019 et 936 en 2018. Cette baisse de l’effectif est sans doute à corréler avec des modifications des calendriers de certaines activités de démantèlement, en lien avec la situation sanitaire due à la COVID-19. Les doses individuelles moyennes sont en légères augmentation par rapport à 2019. Il apparaît que toutes les doses individuelles de l’effectif retenu sur les 3 sites étudiés sont globalement faibles et se situent en dessous de 5 mSv.
305 travailleurs avec une dose supérieure au seuil d’enregistrement
Dose collective : 185,3 Homme.mSv
Dose moyenne : 0,61 mSv
Dose maximale : 4,6 mSv
Bilan 2020
La radioprotection des travailleurs
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Démantèlement
Exposition interne
Dans cette étude ciblée :
623 travailleurs ont eu un suivi de l'exposition interne en 2020
Résultats positifs en surveillance de routine en 2020 : 8 %
Résultats positifs en surveillance spéciale en 2020 : 66 % (plus élevé que pour l'ensemble du domaine nucléaire)
Dose efficace engagée maximale = 1 mSv
=> Intérêt du suivi de l'exposition interne chez les travailleurs du secteur du démantèlement (même si les doses internes associées restent faibles)
Site d'archive : données 2020