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Prestataires du nucléaires
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Prestataires du nucléaires
L’effectif suivi des travailleurs prestataires du nucléaire est globalement stable entre 2018 et 2021. La dose individuelle moyenne en 2021 est en hausse par rapport à 2020 pour retrouver des valeurs proches de celles de 2018 et 2019. L’analyse de la répartition des effectifs par classes de dose montre que, comme les années précédentes, la moitié des prestataires du nucléaire ont des doses supérieures au seuil d’enregistrement des dosimètres.
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Un sous-secteur d’activité (« maintenance » ou « logistique ») est renseigné pour la moitié des travailleurs prestataires. Le personnel en charge de la « maintenance » est environ 10 fois plus nombreux que celui en charge de la « logistique ». Pour l’autre moitié des effectifs, aucun sous-secteur n’est renseigné et ces travailleurs sont donc classés dans le secteur « logistique et maintenance du nucléaire ». La dose individuelle moyenne est plus élevée en « maintenance » qu’en « logistique ». Pour chacun des secteurs, environ la moitié des travailleurs ont une dose annuelle supérieure au seuil d’enregistrement.
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La répartition des effectifs par métiers évolue peu d’une année sur l’autre. Le métier d’« intervenant en logistique d’entretien et de nettoyage » et celui d’« électricien électronicien instrumentiste » contribuent le plus à l’effectif. Les doses individuelles moyennes les plus élevées concernent les métiers d’« opérateur de tir radio mobile » et de « robinetier plombier ». La part des travailleurs ayant enregistré une dose annuelle supérieure au seuil d’enregistrement varie beaucoup d’un métier à l’autre.
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La grande majorité des travailleurs , quel que soit le métier exercé ou le sous-secteur d’activité, sont en CDI . Ces sont également les travailleurs en CDI qui reçoivent la plus grande part de la dose collective.